Léon Zitrone
Date de naissance : 25-11-1914
Date de décès : 25-11-1995
Cimetière : Cimetière Levallois-Perret, 101 Rue Baudin 92300 Levallois-Perret
Léon Zitrone, né(e) le 25-11-1914, est décédé(e) le 25-11-1995. Son corps est enterré au Cimetière Levallois-Perret à Levallois-Perret
À la fois animateur et journaliste, Léon Zitrone est né le 25 novembre 1915 à Saint-Pétersbourg. Il attendra l’aube de ses 40 ans pour effectuer ses débuts à la télévision. Quelques années plus tard, en 1958, il est promu présentateur du journal télévisé, le saint graal de tout journaliste qui se respecte. Il occupera ce poste durant 20 ans.
En plus d’être un animateur aguerrit, Léon Zitrone est aussi connu pour ses talents en co-animation, notamment sur le jeu Intervilles aux côtés de Guy Lux. Il meurt finalement le 25 novembre 1995, 81 ans jour pour jour après sa naissance.
Bien avant de devenir cet animateur et journaliste confirmé, Léon Zitrone fut reconnu pour sa bravoure lors de la Seconde Guerre Mondiale. Mobilisé dans la 14e division d’infanterie, il sera d’ailleurs décoré de la médaille militaire « pour actes de bravoure exceptionnels » après avoir combattu en juin 1940 à Rethel.
Leon Zitrone est principalement connu du grand public pour sa co-animation d’Intervilles aux côtés de Guy Lux. On se souvient d’ailleurs d’une altercation ayant eu lieu entre deux candidats de l’émission, ayant entraîné une blessure de l’animateur, qui s’était interposé entre les deux. Il arrête alors Guy Lux durant son monologue, n’y voyant plus rien car ses lunettes sont cassées. Un grand moment de télévision qui prête à sourire mais qui, à l’époque, a suscité quelque peu la colère des concernés.
Si sa voix est tellement connue du grand public, c’est également parce qu’il fut associé aux événements de vie tels que les mariages, les décès ou les investitures de personnages célèbres.
Célèbre pour son humour et ses critiques pointues et philosophiques, Léon Zitrone l’est aussi pour ses célèbres citations, notamment celle dans laquelle il explique que l’important c’est que l’on parle de lui, qu’il s’agisse de propos bienveillants ou non. la preuve en est : on en parle encore !